Une fois le motif tracé, la plate-forme élévatrice du SLA descend d’une distance égale à l’épaisseur d’une seule couche, typiquement de 0,05 mm à 0,15 mm (0,002 « à 0,006 »). Ensuite, une lame remplie de résine balaie la section transversale de la pièce et la recouvre de nouveau de matériau frais.
- Sur cette nouvelle surface de liquide, le motif de couche suivant est tracé, rejoignant la couche précédente.
- L’objet tridimensionnel complet est formé par ce projet.
La stéréolithographie nécessite l’utilisation de structures de support qui servent à attacher la pièce à la plate-forme élévatrice et à maintenir l’objet car il flotte dans le bassin rempli de résine liquide. Ceux-ci sont supprimés manuellement une fois l’objet terminé.
Cette technique a été inventée en 1986 par Charles Hull, qui à l’époque créait la société 3D Systems.
Traitement numérique de la lumière (DLP)
DLP ou Digital Light Processing se réfère à une méthode d’impression qui utilise des polymères légers et photosensibles.
Bien qu’il soit très similaire à la stéréolithographie, la principale différence est la source de lumière. DLP utilise des sources lumineuses traditionnelles comme les lampes à arc, explique le site http://www.comopint.com.
Dans la plupart des formes de DLP, chaque couche de la structure souhaitée est projetée sur une cuve de résine liquide qui est ensuite solidifiée couche par couche lorsque la plaque de construction monte ou descend. Comme le processus fait successivement chaque couche, il est plus rapide que la plupart des formes d’impression 3D.